Historical records matching Jean Rochefort
Immediate Family
-
ex-wife
-
Privatechild
-
Privatechild
-
ex-partner
-
son
-
wife
-
Privatechild
-
Privatechild
-
mother
-
brother
-
ex-partner's son
About Jean Rochefort
Jean Rochefort (French: [%CA%92%C3%A3 ʁɔʃ.fɔʁ]; 29 April 1930 – 9 October 2017) was a French actor whose career spanned more than five decades.
Life and career
Rochefort was born in Paris, France, to Breton parents.[1] He was educated at the Lycée Pierre Corneille in Rouen[2][3]
He was 19 years old when he entered the Centre d'Art Dramatique de la rue Blanche. Later he joined the Conservatoire National. After his national service, in 1953, he worked with the Compagnie Grenier Hussenot as a theatre actor for seven years. There he was noticed for his ability to play both drama and comedy. He then became a television and cinema actor. He has also worked as director.
After some supporting roles in Cartouche, Captain Fracasse and in Merveilleuse Angélique, Jean Rochefort played his first big role with Annie Girardot as his wife and Claude Jade as their daughter in Hearth Fires in 1972. In this drama he starred as a man who leaves his family for ten years before returning. In this film he played with 41 years a family father of adult children (the young Claude Jade was already 23). To be older, he had a moustache, his trademark, which he had removed only once (1996 in "Ridicule").
Four years after Hearth Fires he was the leading star of the midlife crisis comedy An Elephant Can Be Extremely Deceptive as a man who risks his married life with Danièle Delorme for an affair with Anny Duperey. Thanks to this comedy, Rochefort get a big popularity. In 1972, he starred opposite Pierre Richard as Chief of Counter-Espionage Louis Toulouse in the Yves Robert comedy Le Grand Blond avec Une Chaussure Noire, a role he reprised in the 1974 sequel Le Retour du Grand Blond, also directed by Robert. In 1998, he starred as "Fernand de Morcerf" opposite Gerard Depardieu in the mini-series Le Comte de Monte Cristo.
In his 30s during the shooting of Cartouche, he discovered his passion for horses and equestrianism. He was a horse breeder since then and owned Le Haras de Villequoy. His passion led him to become a horse consultant for French television in 2004. He won two César Awards: in 1976, Best Supporting Actor for Que la fête commence; and in 1978, Best Actor for Le Crabe-tambour.
In the eighties, he became the narrator of the French version of Welcome to Pooh Corner, replacing Laurie Main. This made him popular with children at the time and Disney hired him to record several audio versions of their classic movies. In the nineties, he came back to comedy with Les Grands Ducs where he played alongside two other actors of his generation with a similar career, Philippe Noiret and Jean-Pierre Marielle.
He was to play the title character in The Man Who Killed Don Quixote, after being found as "the perfect Quixote" by director Terry Gilliam. Rochefort learned English just for the part. Unfortunately, amongst other production problems, he began suffering from a herniated disc. Unable to film for months, production was cancelled. A documentary, Lost in La Mancha, was made about the failed production.
In 1960 he married Alexandra Moscwa, with whom he had two children: Marie (1962) and Julien (1965). With actress-filmmaker Nicole Garcia, he also had a son Pierre. Through his second marriage with Françoise Vidal, he had two children, Louise (1990) and Clémence (1992).
Death
Rochefort died on 9 October 2017 at the age of 87
- Reference: Geneanet Genealogy - SmartCopy: Nov 4 2017, 19:28:10 UTC
- Reference: Geneanet Genealogy - SmartCopy: Nov 4 2017, 19:29:01 UTC
About Jean Rochefort (Français)
Jean Rochefort est un acteur français, né le 29 avril 1930 à Paris où il est mort le 9 octobre 2017.
À l'instar de ses amis de la « bande du Conservatoire » comme Jean-Pierre Marielle et Philippe Noiret, Jean Rochefort s'est peu à peu imposé comme une figure du cinéma français dès les années 1960. Reconnaissable à sa voix chaude et à sa moustache, il a joué dans cent-treize films (cent-cinquante en comptant les téléfilms) jusqu'à son dernier rôle dans Floride, en 2015.
D'abord voué aux seconds rôles, notamment aux côtés de Jean-Paul Belmondo dans Cartouche, Les Tribulations d'un Chinois en Chine ou L'Héritier, il devient un acteur de premier plan à partir de 1972 dans Les Feux de la Chandeleur, aux côtés d'Annie Girardot et Claude Jade. Il s'installe ensuite au sommet de l'affiche de nombreux films français notables, parmi lesquels Le Grand Blond avec une chaussure noire avec Pierre Richard, L'Horloger de Saint-Paul avec Philippe Noiret, Que la fête commence, Un éléphant ça trompe énormément et sa suite, Nous irons tous au paradis, Le Crabe-tambour, Le Moustachu, Tandem, Le Mari de la coiffeuse, Ridicule, ou encore Le Placard. Alternant des rôles dans des films grand public et des films d'auteurs, il est devenu une figure emblématique du cinéma français.
Plusieurs fois récompensé, Jean Rochefort remporte notamment le César du meilleur acteur dans un second rôle pour Que la fête commence en 1976 et le César du meilleur acteur pour Le Crabe-tambour en 1978, puis reçoit en 1999 un César d'honneur, couronnant l'ensemble de sa carrière.
Biographie
Jeunesse
Né à Paris de parents bretons — Célestin Rochefort, cadre dans l'industrie pétrolière, originaire de Dinan, et Fernande Guillot, comptable —, Jean Rochefort grandit à Vichy pendant la Seconde Guerre mondiale (à la Libération, il assiste au spectacle des femmes tondues, ce qui lui donnera une vision noire de la nature humaine), puis à Vincennes.
Enfant rêveur, il fait des études médiocres au lycée Corneille de Rouen, au collège de Cusset et au lycée Marcelin-Berthelot de Saint-Maur-des-Fossés. Il désespère son père, à l'opposé de son frère aîné Pierre qui intègre Polytechnique et devient ultérieurement ingénieur général de l'armement.
Après la guerre, à seize ans, il est embauché comme garçon de bureau à la Banque de France. Durant la même période, la famille Rochefort achète une résidence secondaire à Saint-Lunaire. Mais en 1948, à la suite d'une mésentente passagère entre ses parents, Jean et sa mère sont contraints de rester en Bretagne après les vacances estivales. C'est durant l'hiver de cette année-là que l'ennui le lie au fils de la marchande du bazar qui le persuade de prendre des cours de théâtre à Nantes, puis l'année suivante, de venir à Paris suivre à dix-neuf ans les cours à l'école de la rue Blanche.
Il entre ensuite au Conservatoire national supérieur d'art dramatique de Paris où il a pour condisciples Jean-Paul Belmondo, Claude Rich et Jean-Pierre Marielle, au sein de la « bande du Conservatoire », mais il apprend, le 30 juin 1953, qu'il n'est pas admis à concourir.
Après son service militaire en 1953, il travaille avec la Compagnie Grenier-Hussenot comme comédien durant sept ans. Il y est remarqué pour son aisance à jouer tant le drame que la comédie.
Carrière
Jean Rochefort commence sa carrière au théâtre à l'âge de vingt-trois ans. Il se dit comblé par cette expérience car il a interprété des auteurs anglais, comme Harold Pinter, et a eu des partenaires comme Delphine Seyrig.
Au cinéma, il connaît le succès dès 1961 avec Cartouche, puis avec Les Tribulations d'un Chinois en Chine en 1965. Porté par le succès, il enchaîne avec le tournage de trois épisodes de la série Angélique, marquise des anges, entre 1964 et 1966.
Il réalise deux courts-métrages documentaires : Rosine en 1973, qui témoigne de sa passion des chevaux et suit les épreuves d'équitation d'une jeune cavalière à Coëtquidan ; et T'es fou, Marcel? - Hommage irrespectueux comme tous les hommages en 1974, un portrait du comédien Marcel Dalio. Il se lie d'une forte amitié avec Philippe Noiret et Jean-Pierre Marielle.
En 1972, il joue son premier grand rôle dans Les Feux de la Chandeleur de Serge Korber. Il est dans ce drame l'ex-mari d'Annie Girardot et le père de la jeune Claude Jade, qui veut réconcilier ses parents, et du jeune Bernard Le Coq. Puis il a joué dans Le diable dans la boîte en 1977 et Il faut tuer Birgitt Haas en 1981. Dans Les Feux de la Chandeleur, il a joue à l'âge de 41 ans un père de famille d'enfants adultes (la jeune Claude Jade avait déjà 23 ans). Pour paraître plus âgé, il porte une moustache, sa marque distinctive qu'il enlèvera par la suite mais seulement en 1996 pour le film Ridicule.
L'année 1973 marque un tournant dans sa carrière. Il obtient un rôle dans L'Horloger de Saint-Paul. Il considère que ce film a fait de lui l'acteur qu'il allait être par la suite. Il explique que le réalisateur, Bertrand Tavernier, lui a appris à se détendre face à la caméra qui, auparavant, l'impressionnait. Ensuite, il tourne avec Tavernier pour Que la fête commence (1975), un rôle qui lui permet de remporter, à 46 ans, le premier César de l'histoire.
Sa personnalité le conduit à jouer dans de nombreuses comédies célèbres, dont les deux diptyques du Grand Blond (1972-1974) et d'Un éléphant ça trompe énormément (1976-1977), ainsi que La Grande Cuisine (1978). Mais il excelle également dans les rôles dramatiques, grâce auxquels il obtient deux Césars. Il reconnaît aussi avoir tourné dans nombre de « navets » pour assouvir sa passion des chevaux. Il appelle ces films les « films avoines ».
Il prête sa voix au doublage en français de nombreux films, notamment d'animation. Entre 1985 et 1988, il présente également Les Aventures de Winnie l'ourson, pour l'émission Le Disney Channel, diffusée sur FR3.
En 2000, il est Don Quichotte dans le projet de film inachevé L'Homme qui a tué Don Quichotte de Terry Gilliam avec Johnny Depp et Vanessa Paradis. Lors de ce tournage, qui tourne à la catastrophe, Jean Rochefort souffre d'une double hernie discale, l'empêchant à tout jamais de remonter à cheval. La production est arrêtée. En 2006, il participe au clip de Vincent Delerm, Sous les avalanches.
En 2007, il joue avec son fils Julien Rochefort dans un téléfilm adapté d'un conte de Guy de Maupassant, Hautot père et fils. Il participe également à l'album La Mécanique du cœur du groupe français Dionysos.
En 2008, il préside la cérémonie des Césars. Cette même année il est choisi par la marque d'assurances en ligne Amaguiz pour une campagne de publicité.
En 2015, il est président du jury du Festival du film britannique de Dinard.
La même année, il intervient dans une vidéo réalisée par le collectif des « Boloss des Belles Lettres », qui s'illustre sur son blog par des adaptions contemporaines des classiques de la littérature, dans laquelle l'acteur revisite Madame Bovary. En 2016, une série télévisée financée par France 5 est lancée avec les créateurs du collectif, Quentin Leclerc et Michel Pimpant, où Jean Rochefort raconte chaque semaine en « langage jeune » et décalé un classique de la littérature comme Les Liaisons Dangereuses, Le Petit Prince ou encore Le Père Goriot.
Équitation
Le grand-père paternel de Jean Rochefort fut cocher à Dinan avant de devenir éleveur de chevaux en Bretagne. À la trentaine, au cours du tournage de Cartouche en 1962, l'acteur se découvre une passion pour les chevaux et l'équitation. Il devient lui aussi éleveur et acquiert le haras de Villequoy à Auffargis dans les Yvelines. Il affirme avoir mis une centaine de poulains au monde.
Après ce film, Jean Rochefort fait partager sa passion à son ami Philippe Noiret, qui devient lui aussi passionné de chevaux. Le film Les Ripoux et sa suite en donne un exemple. Ils apprennent ensemble à monter à cheval dans un manège avec des gosses de douze ans qui se débrouillaient mieux qu'eux, et se faisaient engueuler comme des gamins par le moniteur.
Sa passion équestre l'a amené à devenir consultant pour France Télévisions, pour qui il a commenté diverses épreuves équestres, dont celles des Jeux olympiques d'été de 2004, ainsi que la cérémonie d'ouverture, et les Jeux olympiques d'été de 2008.
Engagements
Jean Rochefort est le parrain du phare de la Vieille (Finistère). En 2007, il s'engage dans le combat des Enfants de don Quichotte en faveur des SDF. En 2013, il devient membre du comité d'honneur de l'Alliance anti-corrida.
Vie privée
En 1960, Jean Rochefort épouse Alexandra Moscwa, dont il a deux enfants : Marie (1962) et Julien (1965), lui aussi acteur. Après 20 ans de mariage, il divorce et vit pendant sept ans avec Nicole Garcia dont il a un fils, Pierre (1981), acteur également. En 1989, à Raizeux, il épouse en secondes noces l'architecte Françoise Vidal avec qui il a deux enfants, Louise (1990) et Clémence (1992).
Il possède une maison à Grosrouvre dans les Yvelines.
Fin de vie
En août 2016, Jean Rochefort est hospitalisé à Paris pour « des douleurs abdominales ».
Le 21 juillet 2017, il rend un hommage par téléphone sur Europe 1 à l'acteur Claude Rich, décédé la veille. Se connaissant depuis le Conservatoire, ils avaient notamment joué ensemble dans Le Crabe-tambour, qui avait valu à Jean Rochefort le César du meilleur acteur. En 2002, il avait remis à Claude Rich un César d'honneur.
Jean Rochefort meurt d'un cancer à Paris le 9 octobre 2017 à l'âge de 87 ans, alors qu'il était hospitalisé à l'hôpital Saint-Joseph . Ses funérailles ont lieu le 13 octobre 2017 à l'église Saint-Thomas-d'Aquin
Jean Rochefort's Timeline
1930 |
April 29, 1930
|
Paris, Paris, Île-de-France, France
|
|
1981 |
April 24, 1981
|
Paris, Paris, Île-de-France, France
|
|
2017 |
October 9, 2017
Age 87
|
Paris, Paris, Île-de-France, France
|